Messages : 407 Date d'inscription : 13/09/2010 Age : 32 Crédit : avatar par anaëlle
découvre ce qui se cache Fiche Pseudo: Blabla Autre: | Sujet: COSMOPOLIA ROAD Ҩ Maxyne Willow Potter Jeu 25 Oct - 2:42 | |
| { Maxyne Willow Potter } «Il arrive parfois que la plus solide des armures puisse abriter le plus sensible des guerriers. »ft. Sophia Bush ✗ Moi, moi & moiSalut ! Malgrè mon nom à rallonge, certain me surnomme Max'. Je suis né(e) le vingt-quatre janvier mil neuf cent quatre-vingt-quatre à Cosmopolis, ce qui me donne vingt-huit ans. Je suis Australienne & Américaine de par ma mère. Dans la vie, je suis militaire dans l'armée de terre, au grade de colonel. Sinon je suis hétérosexuelle et d'ailleurs officiellement célibataire mais officieusement en couple. Mon pêché ? C'est la gourmandise et je me suis découvert un don dans le domaine des animaux, mon premier pouvoir étant la capacité à soigner les animaux (Soin Animal) (vous ne savez cependant pas encore que vous disposez d'un don, à découvrir en RP). | ✗ Mon caractère Comme tout le monde, j'ai mes qualités et mes défauts. Commençons par ce qu'il y a de bon en moi : calme, responsable, gentille, forte, maternelle, secrète -peut-être trop même-, loyale et fidèle, maline, douée dans son métier, passionnée, sportive & souriante. Passons maintenant du côté obscure de la force : rancunière, peut paraître froide et insensible, impulsive, autoritaire, exigeante, jalouse & se met parfois facilement en colère. Satisfait de découvrir en moi un ange & un démon ? Et bien, sachez qu'il y a encore beaucoup d'autres choses à découvrir sur Maxyne. |
Il est temps maintenant de passer aux choses sérieuses et de creuser un peu mon personnage. ✗ Histoire« Tu sais que maman sera toujours là pour toi, hein ? Je te le promets, mon poussin » Oui, à l’époque, je le savais. A l’époque, j’en étais convaincue. Mais, à l’époque, j’avais six ans et ma mère voulait me rassurer pour une histoire de copine avec qui je m’étais disputée. Vous savez, les disputes où on dit « j’te cause plus » et une heure après, ou le lendemain, tout était oublié. A six ans, on est si naïfs finalement, on croit tellement que la vie est belle, que rien ne pourra nous arrêter. Et puis, en grandissant, on se rend compte qu’on a tort, totalement tort. Pourquoi j’en suis arrivée à cette conclusion alors que je n’ai que vingt-huit ans ? Parce que les gens mentent, ils passent leur temps à mentir. Même moi, je mens. Je mens en prétendant que je ne suis pas amoureuse de cet homme si charmant… Charmant mais très marié aussi. Mais revenons à cette époque où je n’avais que six ans. Evidemment, mon histoire de copine s’était réglée le lendemain. Eden était ma meilleure copine alors on ne pouvait pas rester fâcher. Nous nous connaissions depuis le jardin d’enfants, depuis les couches culottes à dire vrai. En fait, ses parents étaient ensemble au lycée et étaient toujours restés amis. Par le fait, nous avions grandi ensemble, et ça m’allait très bien. Quoi qu’il en soit, ma mère m’avait promis de toujours être là. Et pourtant, un jour, elle était partie, juste comme ça. Sans rien dire. Je n’avais rien vu venir. Mon père non plus je crois. Je venais d’avoir dix ans, je pensais que nous étions une famille unie. Mes parents avaient l’air si heureux ensemble. J’ai compris aujourd’hui que ce n’était qu’une façade. Ça a créé un vide dans la maison. Mais plus que tout, ça a créé un vide dans nos cœurs. Mon père n’a plus jamais été le même. Lui qui était si souriant, si blagueur. Il m’appelait « mon petit ange » et il me prenait dans ses bras souvent. Après le départ de ma mère, il ne l’a plus fait. Vous savez, c’était comme si une flamme s’était éteinte en lui, qu’il était un robot.
« Maxyne, mais qu’est-ce que tu fous ? » Qu’est-ce que je foutais ? Et bien, j’embrassais mon petit-ami. Eden et moi avions grandi. Je n’avais plus eu de nouvelles de ma mère et mon père… et bien, il continuait de vivre, et j’avais toujours cette impression d’être transparente à ses yeux. Nous avions seize ans, et le lycée, c’était plutôt cool. A dire vrai, je n’avais pas vraiment de petit-ami, ou plutôt j’en avais plusieurs. Et Eden n’aimait pas ça. Elle s’était donnée un point d’honneur à me protéger ou quelque chose dans ce style. Mais, je m’en fichais. Moi, je dérivais. Sans même m’en rendre compte. Ou plutôt, j’essayais de me voiler la face, j’essayais de faire semblant d’être forte. Que tout ça ne m’affectait pas, que je m’en fichais que ma mère nous ait abandonnés, mon père et moi, que je m’en fichais que mon père ne me regarde plus. Eden m’avait prise par la main. « Arrêtes ça, et parles moi » Parler ? Mais, je n’avais pas envie de parler, je voulais juste… en fait, je ne savais même pas ce que je voulais. « J’veux pas parler, Eden. » Et puis j’étais repartie, emmenant ce type que je ne connaissais pas vraiment. Il était dans le style mauvais garçon. J’aurais dû faire plus attention. C’était ce que je m’étais dit quand je m’étais réveillée le lendemain à l’hôpital, et que j’avais vu le regard inquiet de mon père. Et, quelque chose me frappa, la peur qu’il avait eu de me perdre avait ravivé cette lueur de vie en lui, ça se voyait dans son regard. Malgré moi, j’avais senti les larmes me monter aux yeux et couler le long de mes joues. Mon père m’avait souri, et les avait séchées du bout des doigts. « J’ai eu tellement peur, si tu savais. » La vérité était que je ne me souvenais presque pas de ce qui m’était arrivée. C’était revenu plus tard dans mes cauchemars, lorsque j’avais de nouveau senti le goût du sang dans ma bouche. La vérité était que le type avec qui j’étais avait failli me tuer en conduisant ivre. Je peux vous dire que j’étais dans un sale état. En fait, je ne me souvenais plus des évènements des derniers jours, comme si une partie de ma mémoire avait été effacée. Après ça, j’avais redécouvert mon père. Notre relation avait pris un tournant et nous étions devenus plus proches que jamais. Je me sentais enfin quelqu’un à ses yeux et ça faisait du bien. Et puis, Eden ne m’avait pas abandonnée. Au contraire, elle a fait en sorte que j’aille mieux, m’accompagnant durant mes longs mois de rééducation. J’ai failli baisser les bras plusieurs fois, Saligia me semblait étranger à mes yeux. Pourtant, tout ce que j’aimais était dans cette ville. Mon père, Eden pour les plus importants.
« Papa, je veux m’engager dans l’armée. » Fraîchement diplômée du lycée, cette idée mûrissait dans ma tête depuis un petit moment déjà. Je ne saurais trop ce qui m’avait poussé à décider cette voie là mais je le devais. Je voulais faire quelque chose, et pas seulement pour moi, mais pour des inconnus. « Non, impossible. Tu peux pas faire ça, Max’… Pourquoi ? » Je m’attendais à une réaction de ce style mais j’avais dix-huit ans, je voulais faire mes propres choix. Alors quoi qu’il me dise, je savais que ça ne changerait rien. « Vas au moins à l’université » Mon père voulait le meilleur pour moi. Je savais qu’il disait cela pour me protéger, il me croyait sans doute trop fragile pour affronter la guerre et toutes ces atrocités. Pourtant, moi, je savais que je le pouvais. Et malgré tout ce qu’il avait pu me dire, je m’étais engagée. J’avais suivi leur entraînement dur. Mais j’étais une sportive, j’avais toujours été une sportive. Et une battante. Alors je savais que je réussirais. Et j’avais réussi. Le jour où l’on m’avait dit que je faisais enfin partie de l’armée de terre, pour de bon, j’avais éprouvé un tel sentiment de fierté. Oui, j’étais fière de moi. Et même si mon père avait peur pour moi, je savais qu’il était encore plus fier.
« Potter, rentrez chez vous » J’en tombais des nues. Non, il ne pouvait pas me faire ça. « Non, mon général, je reste. » Je savais qu’il n’accepterait pas, que c’était fini pour moi. Du moins, pour un certain temps. « Rentrez chez vous. Vous reviendrez quand vous vous serez remise. » Remise de quoi ? Vous devez vous le demander hein ? Il s’appelait Alec, c’était l’homme en qui j’avais le plus confiance dans cette unité, l’homme qui rendait parfois les missions moins dures, qui me remontait le moral. Et il avait succombé sous les tirs. Je n’avais pas réussi à le protéger, il était mort sous mes yeux et les cauchemars ne cessaient de me réveiller lorsque nous pouvions dormir ne serait-ce que quelques heures. Je prenais parfois des risques injustifiés, inconsidérés. Je le savais mais je ne pouvais pas m’arrêter. J’avais fermé mon cœur, mon esprit et je combattais. Je combattais pour mon pays. Sa mort m’avait valu un retour immédiat à Saligia. Je n’avais pas su faire face. Jusque-là, je n’avais versé aucune larme. Pourtant, on m’avait également appris, six mois auparavant, que mon père était décédé, renversé par une voiture.
« Je me présente : Jake Kinsella. » J’étais obsédée par son visage. Il avait ce je ne sais quoi qui me captivait. Il avait cette lueur dans le regard qui m’avait immédiatement fait tomber amoureuse de lui. En Afghanistan, je n’avais pas vraiment connu d’hommes. Je n’étais pas là pour éprouver ne serait-ce qu’un sentiment pour les hommes avec qui je travaillais. Bien sûr, il y avait eu Alec mais c’était différent, c’était mon meilleur ami et malgré tout l’amour que nous éprouvions l’un pour l’autre, ce n’était qu’un amour platonique. Alors que lui, il m’hypnotisait. Il devait simplement me vendre une maison ou un appartement. Et c’était ce qu’il avait fait. Il m’avait trouvé ce magnifique appartement duplex dans lequel je me sentais si bien, comme dans un cocon. Nos chemins devaient se séparer. Pourtant, il s’était avéré que ce ne fut pas le cas. Le seul problème, c’était l’alliance qu’il portait à l’annulaire gauche. Je crois qu’au début, il voulait simplement se sentir libre, et aussi se venger de sa femme qui le trompait depuis des années avec des hommes différents. Il m’avait prévenue. « Ne tombe pas amoureuse. Nous deux, c’est le plaisir. » Quelle idiote ! Quand un homme vous dit ça, vous pouvez être sûre d’en tomber amoureuse. Ça fait deux ans et demi que l’on se voit en cachette, deux ans et demi qu’il trompe sa femme avec une seule femme, moi. Deux ans et demi qu’il continue quand même à voir sa femme le tromper avec d’autres -et depuis récemment avec son meilleur ami- et il arrive à quand même ressentir de la culpabilité par rapport à notre relation. Deux ans et demi que je me dis que ça ne peut pas durer, qu’il faudrait que je le quitte. La vérité, c’était que j’en étais tombée amoureuse.
Oh mon Dieu ! Voilà la réaction que j’avais eue il y a un mois de cela lorsque je tenais en main ce test de grossesse m’indiquant que j’attendais un bébé. Comment j’allais annoncer ça à Jake ? Nous n’étions pas vraiment ensemble, je n’étais que sa maîtresse. Je ne devais pas être enceinte de lui. Je me sentais tellement idiote. Sans trop y réfléchir, j’avais pris rendez-vous pour avorter. L’avortement devait avoir lieu il y a à peine quelques jours. Mais tout ne s’était pas passé comme prévu. Il y a deux semaines, je m’étais écroulée en pleine rue. Comme un air de déjà vu, je m’étais réveillée quelques heures plus tard à l’hôpital et je ressentais comme un vide. Un vide que le chirurgien qui m’avait opérée m’avait expliqué. « Vous faisiez une grossesse extra-utérine et votre trompe gauche a éclaté. J’ai fait tout ce que j’ai pu mais je n’ai pas pu la réparer. » Au moins la question du bébé était réglée. Je n’aurais pas de bébé, et je n’en aurais peut-être jamais. Voulais-je être maman ? Je n’en savais rien. Peut-être bien que oui, au fond… Vous savez, je viens à peine de sortir de l’hôpital, et je ne sais pas si je vais annoncer ça à Jake. Et si je le fais, je ne sais pas comment je vais lui annoncer. Pour ma part, je n’ai toujours pas pleuré.
✗ Mon péché | Mon péché ? La gourmandise. Et cela depuis ma plus tendre enfance. Finalement, je crois que ma passion, c'est manger et pas les bouquins. Pour tout vous avouer, j'ai la chance d'être sportive, et d'avoir une bonne morphologie, ce qui fait que tout ce que je mange ne se retrouve pas directement dans mes hanches. J'arrive à garder la ligne, et pourtant je mange comme quatre. Souvent, les gens s'imaginent que parce que je fais même pas soixante kilos, je ne mange absolument rien. Mais dès qu'ils me voient manger, ils n'en reviennent pas. Je ne mange pas énormément à proprement parler, mais je mange souvent. Vous me trouverez souvent avec un beignet, ou autre pâtisseries. Car, oui, je raffole des pâtisseries, et surtout des cookies. On considère cela comme un défaut, mais, je l'avoue, ça ne me dérange pas dans ma vie. Les sept péchés capitaux, je les connais et je pourrais vous les citer les yeux fermés... Envie, orgueil, luxure, avarice, gourmandise, colère, paresse, et je pense que la gourmandise n'est pas le pire des péchés. Quoique la colère aurait pu me correspondre aussi, je suis une personne assez colérique. Mais, la gourmandise, oui, c'est vraiment moi. Autant au niveau nourriture, j'adore faire la cuisine soit dit en passant, qu'au niveau des achats. J'ai un bon compte en banque, heureusement, parce que je m'achète beaucoup de chaussures, et je change très souvent de téléphone aussi. J'ai des dizaines de choses dans ma cuisine qui ne me servent pas mais que j'étais obligée d'acheter. Ma bibliothèque est pleine à craquer parce que ma première passion, c'est quand même les livres. Je dépense des sommes folles en livres. |
✗ mon jardin secretVotre secret ? Alors, comme tout le monde, j'ai mes petits secrets. Et, j'en ai deux en ce moment. Le premier étant que je sors avec un homme marié, et le second étant que je suis tombée enceinte de lui mais que j'ai fait une fausse couche il y a de cela à peine deux semaines Votre force ? Question difficile mais je dirais ma capacité à être forte justement, c'est-à-dire à ne pas laisser passer mes émotions. Par exemple, sachez que je n'ai pas pleuré depuis des années. Votre faiblesse ? Ma force en fait peut-être aussi une faiblesse puisque je peux paraître froide, et insensible alors qu'au fond, c'est tout le contraire. Votre vocation ? Mon métier de militaire était pour moi une évidence. Servir mon pays, ça s'est présenté à moi quand j'ai eu dix-huit ans et l'amour de mon métier ne m'a jamais quitté. Même si aujourd'hui, j'ai du rentrer chez moi, je sais qu'un jour, je reprendrais place dans mon unité. Vos passions/loisirs ? Ma passion, je dirais que c'est mon métier. Hormis ça, je suis une véritable fan de livres, je lis beaucoup depuis que je suis rentrée d'Afghanistan. Toute sorte de livres d'ailleurs, peu importe le thème ou le sujet.
| ✗ En savoir plus ? Votre fantasme? Rien de bien compliqué, j'espère que Jake finira par faire un choix, et surtout qu'il fera le bon. Votre couleur ? Le violet, sans aucune hésitation Votre plus grand rêve ? Je ne sais pas trop, quand j'étais jeune, j'aurais dit de retrouver ma mère afin d'avoir une explication. Aujourd'hui, je dirais de pouvoir parler une dernière fois à Alec. L'animal qui vous représente ? Je ne sais pas si il me représente vraiment mais le premier qui me vient à l'esprit, c'est un chat, pour son côté doux mais en même temps malin. Votre phobie ? Pour une militaire, c'est la honte, mais je suis agoraphobe. Votre situation financière ? Etant gradée colonel, ma situation financière ne me pose pas vraiment de problème. Je ne suis pas richissime, mais mes finances sont au beau fixe, et plus que modeste. Votre film/livre préféré ? Le film qui a retenu mon attention est Les femmes de l'ombre, un film français si je ne me trompe pas. | ✗ Behind the screen | | Dans la vraie vie, mon pseudo c'est : Alison. Je suis de sexe féminin et je vis en France. J'ai vingt ans *pleure*. Je suis actuellement en vacances *sbaaaf* et plus sérieusement bientôt en seconde année de licence informatique et je peux me connecter facilement 7j/7 normalement. Quand j'ai vu le forum, je me suis dit qu'il était vraiment joli, et que je n'étais vraiment pas déçue d'avoir suivi le projet. Si je veux un parrain ? non, étant une première inscrite, ça devrait aller je pense (aa). | |
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