|
| WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter | |
| Auteur | Message |
---|
Messages : 407 Date d'inscription : 13/09/2010 Age : 32 Crédit : avatar par anaëlle
découvre ce qui se cache Fiche Pseudo: Blabla Autre: | Sujet: WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter Mar 9 Avr - 3:51 | |
| ▲Maxyne Willow Potter « Il arrive parfois que la plus solide des armures puisse abriter le plus sensible des guerriers. » ---------------------------------Nom : Potter, le nom de son père dont elle est très fière. Elle a toujours voulu suivre ses traces, il a toujours été un héros pour elle. Prénom : Maxyne Willow, beaucoup disent que son prénom fait sérieux et que ça ne lui correspond pas car on la voit toujours souriante. Pourtant, dans son métier, Maxyne est quelqu'un d'on ne peut plus sérieux, elle prend son rôle très à cœur. Âge : Elle a vingt-neuf ans, et va sur ses trente ans. Lieu et date de naissance : Elle est née le vingt-deux avril mil neuf cent quatre-vingt-trois dans une banlieue de Camden, une ville près de New-York, dans le New Jersey. Petite ville qu'elle a quitté parce qu'elle ne pouvait plus supporter ce qu'elle représentait. Activité professionnelle : Militaire dans l'armée de terre, gradée Lieutenant, elle a été renvoyée chez elle pour l'instant, après la mort d'Alec, son meilleur ami, en Afghanistan il y a quelques mois. Situation amoureuse : Elle vient de redevenir célibataire, après avoir été "l'autre femme" d'un homme. Après sa fausse couche, elle s'est rendue compte qu'elle ne pouvait plus supporter d'être la maîtresse. De plus, ça lui permet de ne pas avoir à dire à cet homme qu'elle a fait une fausse couche. Orientation sexuelle : Elle est hétérosexuelle, même si elle avoue avoir eu, au lycée, une relation assez courte avec une fille qui est ensuite devenue sa meilleure amie. Situation financière : Elle n'a aucun problème à ce niveau-là, elle ne fait pas partie de la haute -et ça lui convient très bien d'ailleurs- mais ses revenus sont plus que modestes. J'aime : son métier avant tout, lire, se blottir sous sa couette lorsqu'il fait froid. J'aime pas : le lait -elle y est allergique en fait-, qu'on l'appelle Potter et cela même si ça vient de ses supérieurs, la méchanceté quelle qu'elle soit, continuer à avoir ses cauchemars sur la mort d'Alec. Signe astrologique : Étant née en avril, cela fait d'elle une personne du signe du Taureau. Groupe : Se reconstruire, c'est tout ce qu'elle veut. En attendant de pouvoir repartir au front, elle ne recherche que ça, la tranquillité. Elle fait donc partie des magnolia forever.
PORTRAIT CHINOIS ▲
Si tu étais un animal ? je serais un renard. Si tu étais une ville ? je serais Camden, la ville où je suis née. Si tu étais un dessert ? je serais une tarte au chocolat. Si tu étais une célébrité ? je n’en serais aucune, la célébrité, je m’en moque. Si tu étais un film ? je serais les femmes de l'ombre. Si tu étais une fête ? je serais Thanksgiving. Si tu étais un parfum ? je serais le parfum de la rose. Si tu étais une glace ? je serais une glace au chocolat. Si tu étais un conte ? je serais Raiponce. Si tu étais un sport ? je serais la gymnastique.
|
| GOSSIP GIRL ▲
Surnom : j'ai apparemment hérité du surnom Misty, parce que je serais une fille mystérieuse, et qu'on aurait du mal à percer mes secrets. Secrets dévoilés : Pour le moment, aucun de mes secrets n'a pu être dévoilé, cela fait seulement environ six mois que je suis arrivée à New-York, Gossip Girl n'a sans doute pas eu le temps de se renseigner sur mes faits et gestes. Rumeurs actuelles : Pour l'instant, je crois qu'une grande question subsiste : Pourquoi j'ai été renvoyée du front momentanément ? Que s'est-il passé en Afghanistan ?. Que penses tu de Manhattan ? Cela me change considérablement de ma petite banlieue tranquille. A dire vrai, je ne suis pas vraiment sûre d'aimer cela. Tout est tellement plus grand, tellement plus exagéré par ici, je n'arrivais pas à comprendre les mentalités de certains. Ça me dépassait complètement. Tout ce que je voulais, c'était vivre tranquillement en attendant de retourner au front. Tout ici était... trop.
Quels sont tes secrets ? Renvoyée chez moi car mon meilleur ami est mort au front et que je prenais des risques inconsidérés, je suis alors arrivée à New York, ne voulant pas retourner à Camden, j'ai fait appel à un agent immobilier pour trouver mon appartement. J'ai fait l'erreur de tomber amoureuse. Mais ledit agent est marié. Il y a de cela un mois, je suis tombée enceinte, et puis, j'ai fait une fausse couche. Je l'ai alors quitté, en ayant marre d'être la maîtresse, et cela me donne le bon moyen de ne pas lui dire à propos de ma fausse couche.
|
Quelle est la différence entre l'Upper East Side et Brooklyn ? A part l'argent, vous voulez dire ? Je n'en vois aucune. Du moins, pour le moment. J'ai l'impression qu'ici, tout le monde se fiche de tout le monde et que ce sera à qui aura la rumeur la plus croustillante. Partout, il y a des personnes à qui on ne peut absolument pas faire confiance. Qu'est ce que le luxe ? Le fait de se croire le centre du monde alors qu'on n'est même pas foutu d'aligner deux phrases sans dire une affreuse connerie. Oui, c'est vrai, je vis bien mais je ne vis pas dans le luxe, je ne peux pas me payer tout ce que je veux simplement en dégainant ma carte de crédit, qui a été au préalable alimenter par mes parents. Le luxe fait croire aux gens qui le vivent qu'ils sont supérieurs, alors qu'ils ne sont rien d'autres que des égoïstes, qui croient tout leur est du, simplement parce qu'ils ont le porte-monnaie. Qui est Gossip Girl ? Une personne voulant se moquer des gens en divulguant leurs moindres secrets, et qui n'a sans doute aucun scrupule à traîner dans la boue les personnes. C'est tellement plus simple en plus quand on reste anonyme. Quelles sont tes priorités ? Retourner au front, c'est ma vocation, c'est ce pour quoi je suis née. Je ne pourrais pas acceper d'y renoncer. En apprenant que j'étais enceinte, j'ai été paniquée, je voulais avorter. Et puis, avec ma fausse couche, ça m'a fait me rendre compte que finalement je le voulais peut-être cet enfant. Alors, peut-être qu'une famille pourrait être ce qui me fera abandonner ma vocation. Sinon, rien ni personne ne pourra m'empêcher de vouloir coûte que coûte retourner au front. Je veux rendre mon père fier de moi, peu importe qu'il soit mort, il sera toujours présent en moi. J'aurais l'impression de l'abandonner si j'abandonnais ma carrière. Parles moi de toi ? (manies, tics, goûts, phobies, autres) : Je suis -je pense, en tout cas- quelqu'un de calme -il ne faut pas trop m'énerver tout de même-, responsable, gentille, forte, maternelle -c'est assez ironique d'ailleurs mais c'est ce que m'a toujours dit ma meilleure amie-, secrète -peut-être trop même-, loyale et fidèle, maline, douée dans son métier, passionnée surtout, sportive & souriante. Mais, ça c'est le bon côté de ma personne, je suis également exigeante, je ne pardonne pas facilement, voire même je ne pardonne jamais quand on m'a traité comme une moins que rien. Je peux paraître froide et insensible alors que ce n'est pas le cas. J'ai eu du mal à remettre des escarpins après avoir porté des rangers pendant des années, mais je tiens à rester féminine et à prendre soin de moi malgré un métier très masculin. Je n'ai pas pleuré depuis des années -depuis le suicide de mon père en fait- pour des choses personnelles et réelles, je n'y arrive tout simplement pas, ce qui me fait passer parfois pour une personne sans cœur, sans sentiments. Pourtant, je pleure facilement devant un film par exemple.
Prénom/Pseudo : Alison/Purple Âge : Vingt ans et je vais sur mes vingt-et-un ans. Où as tu connu le forum : Grâce à Sully, et comme j'ai décidé de la harceler et de la suivre partout, me voici Avatar : Camilla Luddington. Commentaires : Je sais pas trop quoi dire, j'espère que je pourrais développer ce personnage au mieux (: et puis, vous inquiétez pas, vous allez m'aimer
Dernière édition par Purple le Mer 10 Avr - 3:09, édité 1 fois |
| | | Messages : 407 Date d'inscription : 13/09/2010 Age : 32 Crédit : avatar par anaëlle
découvre ce qui se cache Fiche Pseudo: Blabla Autre: | Sujet: Re: WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter Mar 9 Avr - 8:13 | |
| ▲ c'est mon histoire« Mon papa, il sauve des vies. » Depuis toute petite, je considérais mon père comme un véritable héros. Je disais toujours ça aux autres. Je ne savais pas exactement ce qu’il faisait mais j’étais convaincue d’une chose ; il faisait le bien. Quand il n’était pas là, il y avait Lilianne pour prendre soin de moi. Ma mère était le genre de femme forte et douce à la fois. Je voulais autant lui ressembler à elle qu’à mon père. J’avais décidé très jeune que « plus tard, je serais une héros comme papa ». Mes parents ne s’y opposaient pas. Comme si ils pensaient que ce n’était que passager, que lorsque je grandirais, je comprendrais que ce n’était pas ma vocation. Pourtant, j’étais persuadée que ça l’était, que j’étais née pour ça. Cette pensée fut encore plus renforcée quelques années plus tard. « Elle est où maman ? » J’avais quatorze ans. Ma vie avait été paisible, mais à croire que le sort s’acharnait toujours sur les bonnes personnes. Je rentrais de l’école. Mon père n’était pas censé être là. Pourtant, il l’était. Où était ma mère ? En posant la question, j’avais l’impression de connaître déjà la réponse rien qu’en regardant le visage de mon père. En quelques secondes, j’étais dans ses bras, pleurant toutes les larmes de mon corps. Les larmes ne s’arrêtaient plus de couler. Finalement, j’avais levé les yeux sur mon père. « Pourquoi ? Comment ? » C’était presque une supplication mais, au fond, je n’étais pas sûre de vouloir connaître la vérité. « Une balle perdue lors d’un braquage. » Je sentis mon cœur louper un battement. A partir de ce moment, je ne saurais dire ce qu’il s’est passé. Je me suis ensuite réveillée quelques heures plus tard, dans les bras de mon père. Il m’avait expliqué que j’avais crié, disant que ce n’était pas juste, que j’avais beaucoup pleuré et que je m’étais finalement endormie. Je ne pouvais pas croire que ma mère était morte. Non, je ne pouvais pas y croire. Elle était ma mère, elle ne pouvait pas me laisser. Elle ne pouvait pas mourir d’une balle perdue alors que j’avais encore besoin d’elle. Elle n’avait rien demandé à personne, elle était simplement au mauvais endroit, au mauvais moment. Tout ce qu’on y gagnait, c’était que ça détruisait ma famille. Papa était passé de héros à dépressif. A ce moment-là, je savais que je devais m’engager dans l’armée, que c’était là ma voie, suivre les traces de mon père. Suivre ce qu’il n’avait pas pu terminer à cause de sa trop grande douleur. Il avait perdu la femme de sa vie. Je l’aidais comme je le pouvais à surmonter tout ça. J’avais enfoui ma propre douleur au fond de moi. Comme si elle n’existait, je n’avais fait que penser à celle de mon père, au fait qu’il ne lui restait plus que moi. « Je me suis engagée, papa. » Dès mon diplôme de lycée en poche, je m’étais engagée, comme je me l’étais toujours promis. Il n’avait pas bronché, il savait ma détermination, il savait que, tout comme lui, telle était ma vocation. « Je suis fier de toi, tu sais, tu es devenue une belle jeune femme, tu es comme ta mère. » Il n’avait jamais été aussi sincère qu’à ce moment-là. Le jour où j’avais été déployée en Afghanistan, trois ans après mon engagement. Ses paroles m’avaient touché au plus profond de moi-même.
▲ ▲ ▲
« Potter, rentrez chez vous » J’en tombais des nues. Non, il ne pouvait pas me faire ça. « Non, mon général, je reste. » Je savais qu’il n’accepterait pas, que c’était fini pour moi. Du moins, pour un certain temps. « Rentrez chez vous. Vous reviendrez quand vous vous serez remise. » Remise de quoi ? Pour moi, j’étais parfaitement remise. Il s’appelait Alec, c’était l’homme en qui j’avais le plus confiance dans cette unité, l’homme qui rendait parfois les missions moins dures, qui me remontait le moral. Et il avait succombé sous les tirs. Je n’avais pas réussi à le protéger, il était mort sous mes yeux et les cauchemars ne cessaient de me réveiller lorsque nous pouvions dormir ne serait-ce que quelques heures. Je prenais parfois des risques injustifiés, inconsidérés. Je le savais mais je ne pouvais pas m’arrêter. J’avais fermé mon cœur, mon esprit et je combattais. Je combattais pour mon pays. Sa mort m’avait valu un retour immédiat à ma triste vie. Je n’avais pas su faire face. Jusque-là, je n’avais versé aucune larme. Pourtant, on m’avait également appris, six mois auparavant, que mon père était décédé, il s’était suicidé. Je m’en voulais, je l’avais laissé seul. Je pensais qu’il le supporterait, mais sa douleur était bien trop grande. Même des années après, même après quinze ans. Il s’était suicidé le jour de l’anniversaire de mort de ma mère. Je trouvais le mot anniversaire inapproprié. Un anniversaire était une fête. Pas la mort de mes parents. Pourtant, j’avais tenu. J’étais forte. J’avais enterré mon père dans le même caveau que ma mère et j’étais retournée en Afghanistan. Mais cette fois, c’était fini pour moi. « Je peux pas abandonner. » Le Général Parker m’avait fixé de son regard bienveillant, presque paternel. Autant il pouvait se montrer dur, autant il pouvait être si chaleureux. « Vous n’abandonnez pas. C’est temporaire. Remettez-vous et je vous réintègre dès que c’est fait. » Je n’avais pas le choix. Je devais partir. Pour aller où ? Je ne le savais pas encore. Je refusais de retourner dans ma banlieue, je n’avais plus personne là-bas. Même ma meilleure amie n’y était plus. Elle m’avait dit qu’elle était à New-York. Alors, c’était là que j’irais.
▲ ▲ ▲
« Je me présente : Jake Kinsella. » J’avais posé temporairement mes valises chez ma meilleure amie mais je voulais me trouver un appartement à moi. J’étais obsédée par son visage. Il avait ce je ne sais quoi qui me captivait. Il avait cette lueur dans le regard qui m’avait immédiatement fait tomber amoureuse de lui. En Afghanistan, je n’avais pas vraiment connu d’hommes. Je n’étais pas là pour éprouver ne serait-ce qu’un sentiment pour les hommes avec qui je travaillais. Bien sûr, il y avait eu Alec mais c’était différent, c’était mon meilleur ami et malgré tout l’amour que nous éprouvions l’un pour l’autre, ce n’était qu’un amour platonique. Alors que lui, il m’hypnotisait. Il devait simplement me vendre un appartement. Et c’était ce qu’il avait fait. Il m’avait trouvé ce magnifique appartement dans lequel je me sentais si bien, comme dans un cocon. Nos chemins devaient se séparer. Pourtant, il s’était avéré que ce ne fut pas le cas. Le seul problème, c’était l’alliance qu’il portait à l’annulaire gauche. Je crois qu’au début, il voulait simplement se sentir libre, et aussi se venger de sa femme qui le trompait depuis des années avec des hommes différents. Il m’avait prévenue. « Ne tombe pas amoureuse. Nous deux, c’est le plaisir. » Quelle idiote ! Quand un homme vous disait ça, vous pouviez être sûre d’en tomber amoureuse. Ça avait duré cinq mois. Cinq mois durant lesquels il trompait sa femme avec une seule femme, moi. Cinq mois qu’il continuait à voir sa femme le tromper mais qu’il ne la quittait pas. Il arrivait même à éprouver de la culpabilité parce qu’il commençait, soi-disant, à tomber amoureux de moi. Cinq mois que je me disais que ça ne pouvait pas durer, qu’il faudrait que je le quitte. La vérité, c’était que j’en étais tombée amoureuse. Vraiment amoureuse. Pour la première fois depuis longemps, je me sentais vivante.
Oh mon Dieu ! Voilà la réaction que j’avais eue il y avait un mois de cela lorsque je tenais en main ce test de grossesse m’indiquant que j’attendais un bébé. Comment j’allais annoncer ça à Jake ? Nous n’étions pas vraiment ensemble, je n’étais que sa maîtresse. Je ne devais pas être enceinte de lui. Je me sentais tellement idiote. Sans trop y réfléchir, j’avais pris rendez-vous pour avorter. L’avortement devait avoir lieu il y a à peine quelques jours. Mais tout ne s’était pas passé comme prévu. Il y a deux semaines, je m’étais écroulée en pleine rue. Je m’étais réveillée quelques heures plus tard à l’hôpital et je ressentais comme un vide. Un vide que le chirurgien qui m’avait opérée m’avait expliqué. « Vous faisiez une grossesse extra-utérine et votre trompe gauche a éclaté. J’ai fait tout ce que j’ai pu mais je n’ai pas pu la réparer. » Au moins la question du bébé était réglée. Je n’aurais pas de bébé, et je n’en aurais peut-être jamais. Voulais-je être maman ? Je n’en savais rien. Peut-être bien que oui, au fond… « C’est fini, Jake. Je suis désolée mais je ne peux plus. » Je venais de sortir de l’hôpital, il était à ma porte, et j’avais eu la force de le quitter. Au moins, comme ça, je n’aurais pas à lui dire que j’avais fait une fausse couche. C’était fini. A présent, plus rien ne me retenait ici, je devais retourner au front. Et je n’avais toujours pas pleuré. |
| | | Messages : 407 Date d'inscription : 13/09/2010 Age : 32 Crédit : avatar par anaëlle
découvre ce qui se cache Fiche Pseudo: Blabla Autre: | Sujet: Re: WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter Lun 9 Juin - 3:23 | |
| juin 1983 × naissance février 1997 × mort de sa mère juillet 2001 × diplôme mai 2004 × Afghanistan février 2013 × mort de son père avril 2013 × mort d'Alec août 2013 × renvoyer chez elle septembre 2013 × rencontre avec Jake novembre 2013 × premier baiser, il commence une relation mai 2014 × fausse couche et quitte Jake
|
| | | | Sujet: Re: WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter | |
| |
| | | | WAR AT THE ROSES Ҩ Maxyne Willow Potter | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |